City a remporté le premier match à Madrid 2-1, mais le Real Madrid est réputé pour ses remontées. Privé de Ramos (disqualifié), Zidane a aligné une défense centrale avec Varane et Militao. Guardiola a opté pour un pressing haut et un trio offensif dynamique : Sterling, Foden et Jesus. Le match a débuté par des attaques actives des deux équipes. City a immédiatement fait preuve d’une tactique agressive, tentant de bloquer les attaques adverses. Sterling, avec sa vitesse et ses dribbles, a constamment mis en difficulté les défenseurs du Real Madrid. De son côté, Foden s’est montré créatif, créant des occasions pour ses coéquipiers.
En première mi-temps, City a ouvert le score. Après une attaque rapide et une bonne combinaison, la passe de Sterling a trouvé Jesus, qui a inscrit le but d’une frappe précise. Ce but a donné confiance à City, qui a continué à attaquer, mais le Real n’a pas lâché. Zidane, conscient de la situation, a commencé à ajuster le tir. Il a concentré son attention sur les côtés, exploitant la vitesse de ses ailiers, comme Vinicius. Cela a porté ses fruits : le Real a commencé à se créer des occasions dangereuses devant le but de City. Varane et Militao ont eu du mal, mais ils ont tenté de contenir l’assaut adverse.
En milieu de seconde période, le Real a finalement réussi à marquer en retour. Après un corner et une confusion dans la surface adverse, le ballon est tombé sur Benzema, qui n’a laissé aucune chance au gardien à bout portant. Ce but a permis au Real de revenir dans le match et a redonné confiance à l’équipe. Guardiola, constatant que son équipe avait perdu du terrain, a décidé d’effectuer un changement et d’engager des joueurs frais. Cela a permis à City de reprendre l’avantage. Cependant, malgré ses efforts, le Real a défendu avec acharnement et cherché des occasions de contre-attaque.
Le moment fort du match a été la contre-attaque rapide du Real : Vinicius, ayant reçu le ballon sur le côté, s’est retrouvé seul face à un défenseur. Sa passe précise a trouvé Benzema, qui a marqué à nouveau. Ce but a porté un coup dur à la psychologie adverse. Dans les dernières minutes du match, City s’est lancé à l’attaque, mais le Real a réussi à organiser une défense solide. Le gardien Courtois a sauvé son équipe à plusieurs reprises, faisant preuve d’excellentes réactions. Au final, le match s’est soldé par un match nul 2-2, ce qui a permis au Real d’espérer un match retour réussi à Manchester. Le deuxième match s’annonçait tendu, et les deux équipes comprenaient que la moindre erreur pouvait leur coûter une place au tour suivant. Au vu des résultats du premier match, City devait montrer toutes ses qualités pour s’imposer à domicile.
Dès la 9e minute, Raphael Varane commet une erreur en quittant la défense. Jesus intercepte le ballon et passe décisive pour Sterling (1-0). C’est le 100e but de Rahim pour City, et sa joie est immense, car cela démontre son importance pour l’équipe. Ce but n’est pas seulement symbolique, il constitue aussi un avantage psychologique pour City, qui continue d’attaquer. Après le but, City intensifie son action et le pressing se fait encore plus agressif. Vinicius et Benzema tentent de trouver des zones libres, mais les défenseurs de City, menés par Dias, restent sur leurs gardes. Chacun de leurs gestes est soigneusement réfléchi et ils s’efforcent de ne pas commettre d’erreur, comme ce fut le cas avec Varane.
À la 20e minute, le Real commence à prendre l’initiative. Casemiro prend le contrôle du milieu de terrain, cherchant à organiser les attaques. Il distribue des passes sur les côtés, où Vinicius et Asensio cherchent des occasions de déjouer la défense. Leur vitesse et leur technique posent problème à City, qui met rapidement la pression sur la défense adverse. Pendant ce temps, Guardiola, conscient que son équipe ne pouvait pas se relâcher, se concentrait sur la maîtrise du ballon. City commençait à avoir davantage le ballon, et cela payait. À la 30e minute, Gabriel Jesus, faisant preuve de grandes qualités individuelles, trompait plusieurs défenseurs et tirait dans la lucarne opposée, mais le ballon passait à côté du but. Pourtant, le Real ne baissait pas les bras. À la 35e minute, Vinicius, réceptionné sur le flanc gauche, trompait un défenseur et centrait dans la surface de réparation, où Benzema était à nouveau bien placé. Sa tête heurtait le poteau et le ballon sortait des limites du terrain. C’était une belle occasion qui aurait pu changer le cours du match.
La tension montait de minute en minute, et les deux équipes cherchaient constamment des occasions de but. Guardiola profita du remplacement pour faire entrer Foden, censé apporter fraîcheur et créativité à l’attaque. Son arrivée changea la dynamique du match, et City commença à se créer davantage d’occasions. À la 45e minute, City creusa l’écart. Après une combinaison rapide, Sterling a passé le ballon à Foden, qui, sans réfléchir, a décoché une frappe précise (2-0). Le stade a explosé de joie, et ce fut un moment crucial avant la pause. En seconde période, le Real a décidé de se battre jusqu’au bout. Zidane a procédé à des remplacements, faisant entrer davantage de joueurs offensifs. Ils ont commencé à presser activement la défense de City, et cela a rapidement porté ses fruits. À la 60e minute, le Real a réduit le score. Benzema, ayant reçu le ballon dans la surface de réparation, a tiré avec assurance et a trompé Ederson (2-1).
À partir de ce moment, le match est devenu encore plus tendu. Les deux entraîneurs ont multiplié les changements, cherchant des failles dans la défense adverse. City a répondu par des contre-attaques rapides, mais le Real a continué à chercher des moyens de percer la défense. À la 75e minute, Vinicius s’est créé une nouvelle occasion dangereuse, mais son tir a été contré par les défenseurs. City a réagi par ses propres attaques et, à la 80e minute, a eu une belle occasion d’augmenter le score. Foden s’est retrouvé seul face à face, mais sa frappe a été repoussée par Courtois. Dans les dernières minutes du match, le Real a tout donné en attaque, et la tension a atteint son paroxysme. À la 88e minute, ils ont obtenu gain de cause : après un corner passé dans la surface, les défenseurs de City n’ont pas pu contenir Benzema, qui a inscrit le but de la tête (2-2). Ce but a marqué l’aboutissement d’une confrontation tendue. Les deux entraîneurs savaient qu’au match retour, chaque détail compterait et que les deux équipes viseraient la victoire. Le match a laissé les spectateurs pleins d’émotion et d’attentes, car un autre match passionnant les attendait.
À la 68e minute, Varane commet une nouvelle erreur : il reprend de la tête sans succès, et Jesus sanctionne le but ; 2-1. Ce but est le fruit non seulement d’une erreur individuelle du défenseur, mais aussi d’une excellente pression de City. Jesus fait preuve de vitesse et de réactivité, réagissant instantanément à l’erreur adverse. Après ce but, City prend confiance et le Real se retrouve sous pression. Malgré les tentatives du Real en contre-attaque, la pression de City s’accentue. Guardiola, observant le match, ajuste sa tactique. L’équipe continue de contrôler le ballon, empêchant les Madrilènes de développer leurs attaques. Au centre du terrain, Casemiro et Toni Kroos tentent de se créer des occasions, mais City bloque efficacement leurs passes.
À la 75e minute, City aurait pu accentuer son avantage. Après une contre-attaque rapide, Foden se retrouve en tête-à-tête avec Courtois après avoir reçu le ballon de Sterling, mais le gardien du Real Madrid réagit brillamment et repousse le tir. Ce fut un moment important, lorsque City commença à dominer le terrain, semant la panique chez l’adversaire. Zidane, conscient que le temps pressait, procéda à plusieurs remplacements, faisant entrer davantage de joueurs offensifs. Vinicius et Asensio commencèrent à entrer en jeu activement, et le Real se créa rapidement une occasion. À la 80e minute, sur un centre venu du flanc, Benzema tenta de cadrer de la tête, mais le ballon ne trouva pas le cadre. Le Real continua à chercher ses occasions, mais la défense de City était au meilleur de sa forme.